Susanne à Torquay

Susanne à Torquay


Une page publicitaire du livre sur Torquay

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La nostalgie d’une tante...

Photo de ma tante Susanne

Portrait de ma tante Susanne Hiron

Je suis fils unique, je n’ai connu ni oncle ni tante, ni neveu, ni nièce, et je me suis par contre toujours senti attiré par une tante trop tôt disparue : Susanne, la sœur aînée de mon père qui est morte à 32 ans, l’année où je suis né, en 1946. Son parcours ne fut pas commun puisqu’elle était préceptrice dans une famille anglaise. Elle était belle, très élégante, dessinait fort bien, et écrivait des petits contes. J’ai gardé tous ses cahiers, avec ses notes. Il y a quelques années, j’ai découvert dans ma bibliothèque un document que j’avais oublié : un livre très illustré, daté de 1932, sur la ville touristique anglaise de Torquay, là où Susanne résidait. Elle avait dû le ramener à sa famille pour lui faire découvrir son environnement quotidien.

Une mine pour une BD!

Une des publicités du livre sur Torquay

Publicités du livre ramené par Susanne

Il y avait dans cet ouvrage une masse d’informations épatantes pour un dessinateur  de BD : scènes de rues, vitrines de magasins, paysages divers, photos de mode, de véhicules de l’époque : une vraie mine. J’ai eu très envie d’en tirer parti et l’idée s’est imposée à moi de créer une histoire dans laquelle pourrait évoluer ma tante Susanne. Ce serait ainsi une certaine façon de la faire revivre à mes yeux. Mais quelle histoire ?  Je n’en avais aucune idée...