Le trésor du Reich...
Un trésor qui suscite encore des convoitises...
Le thème de ce roman s’est logiquement imposé à moi à la suite de la mise au point du Tombeur du Reich. La trame de cette nouvelle histoire (complètement indépendante de la précédente) est basée sur l’existence de l’immense trésor de guerre amassé par les nazis en spoliant les biens des juifs et en vampirisant les pays occupés. Ceci est bien connu, tout comme l’on sait que seule une infime partie en a été retrouvée. Hermann Göring a joué un rôle central dans ce pillage : beaucoup d’œuvres d’art ainsi «récupérées» trônaient ostensiblement dans son palais de Carinhall.
Des questions jusqu’ici sans réponse...
- Où ces œuvres d’art ont-elles été mises à l’abri avant que le Reichmarschall ne fasse lui-même détruire Carinhall à l’approche de l’Armée rouge ?
- Que sont devenus tous les trésors amassés par d’autres dignitaires du régime et qui n’ont jamais été retrouvés ?
- Où est passée la célèbre « Chambre d’Ambre » russe dont un fragment est mystérieusement apparu il y a quelques années dans une vente aux enchères ?
C’est ce constat, et la certitude de l’existence de ces richesses encore cachées, qui incitent encore de nos jours de nombreux chercheurs à traquer leur piste.
Un lien cohérent
Le fil rouge de cette histoire est fourni par le yacht personnel de Göring, le Carin II, construit en 1937. Après la défaite de l’Allemagne en 1945, ce bateau a connu plusieurs propriétaires, dont le journaliste Gerd Heidemann, principal acteur de l’affaire des faux carnets d’Hitler publiés par le magazine Stern en 1983. Le yacht est encore à flot aujourd’hui (mais sous un autre nom) ce qui permet de faire évoluer le récit jusqu’à la période contemporaine.
Ce bateau est le pivot de cette histoire. Göring n’y aurait-il pas soigneusement dissimulé un document indiquant les lieux des différentes cachettes souterraines où se trouvent encore aujourd’hui ses trésors ? Il faudra bien sûr lire le roman pour le savoir…